L’aventure avec cette ville ne s’est pas arrêté au lycée.
Elle a continué grâce à l’hospitalité diocésaine de Pamiers qui organise depuis des années un pèlerinage à Lourdes pour des personnes malades ou en situation d’handicap.
On m’as parlée et j’ai tenté une première fois l’expérience. Je suis devenue une hospitalière.
Depuis , chaque année, je reviens avec une immense joie, accompagné et me mettre au service des pélerins.
Être hospitalier ou hospitalière c’est accepter de servir les autres. Chacun et chacune , nous sommes différents mais nous pouvons nous entraider et avancer
Ces années de pèlerinage avec l’hospitalité a Lourdes m’ont fait grandir , mûrir.
Je me souviens de plein de moments de joie, de partage. J’ai eu aussi des moments de doute et de craquages.
Mais le sanctuaire de Lourdes est vraiment un lieu, où l’on peut se ressourcer.
Là -bas je sens comme chez moi.
Lourdes est une ville de rencontre . On y parle toutes les langues.
Coucou , Aujourd’hui je vais vous parler d’une ville et en particulier de son sanctuaire.
Elle est connue dans le monde entier. Hé non cette fois , il ne s’agit pas de Paris.
Mais de la ville de Lourdes.
Lourdes et moi c’est une drôle d’histoire qui a commencé quand j’étais au lycée. Proposition de partir en pèlerinage .
D’ailleurs la première question que j’ai posé : c’est où sa Lourdes ? ( J’ai vraiment posé la question comme cela a la personne qui m’en parlait)
Pour moi , a l’époque Lourdes c’était une ville hors de France.
J’avoue la géographie c’est pas mon fort.
Je suis donc partie avec d’autres élèves du lycée et les adultes qui nous accompagnés a Lourdes.
De ce premier pèlerinage, je n’ai gardé que quelques souvenirs.
Je me souviens que l’on portait un foulard rouge sur lequel était inscrit le thème du pèlerinage qui était : servir libère, que ce qui m’empêche d’être libre ?
Je me souviens aussi d’avoir touchée le rocher de la grotte.
C’est au retour de ce pèlerinage, que j’ai commencé à aller à la messe, le dimanche.
J’y suis retournée une deuxième fois avec le lycée. De ce deuxième pèlerinage, je me souviens que l’on avait fabriqué une grande croix bleue avec des coquillages dorés ( avant le pèlerinage) pour un spectacle qui a été joué là-bas .
Je me souviens d’avoir tenu la croix sur une grande scène pendant que des jeunes formés le mot liberté sur le chant liberta ( pep’s)