L’inspiration au fil des flots

Coucou

Un petit texte écrit hier soir.

Je cherche mes mots. Je rêve de remplir cette page.

Sa blancheur me hante et me stresse.  Les mots virevoltent au rythme de mes pensées. Impossible de les poser.

Trop de chose dans la tête. Beaucoup de question ! peu de réponse. 

Attendre, ce n’est parfois pas évident. Penser à l’avenir, y rêver. Avoir peur que son rêve soit brisé.

Garder espoir !  S’accrocher et y croire.  

J’aimerais que les mots dansent à nouveau sur ma page comme avant.

 Puisse l’inspiration revenir. Mais elle est libre. Après, rien de ne peut la forcer à rester. Elle a besoin de bouger.

L’emprisonner, c’est la tuer !  Mais l’accompagner, c’est lui offrir la liberté.

Alors laisse la filer dans la nuit étoilée. Elle reviendra avec de nouvelles histoires.

Aveugle comme Saul

Coucou, aujourd’hui un petit texte qui m’a inspiré par la première lecture ( messe du jour). Elle est tirée du livre des actes des apôtres ( dans le nouveau testament après les évangiles)

Aveugle comme Saul. Mes yeux sont ouverts, mais je ne vois rien . Mon cœur est fermé. J’ai perdu la clé.

Qui pourra m’aider ?

Toi, seigneur , tu le peux.

Mais aura-t-il d’autres Ananie pour répondre à ton appel ?

Ci- dessous vous pouvez retrouver les versets bibliques qui m’ont inspiré ainsi que les référence pour les retrouver dans une bible.

Livre des Actes des Apôtres 9,1-20.

En ces jours-là, Saul était toujours animé d’une rage meurtrière contre les disciples du Seigneur. Il alla trouver le grand prêtre
et lui demanda des lettres pour les synagogues de Damas, afin que, s’il trouvait des hommes et des femmes qui suivaient le Chemin du Seigneur, il les amène enchaînés à Jérusalem.
Comme il était en route et approchait de Damas, soudain une lumière venant du ciel l’enveloppa de sa clarté.
Il fut précipité à terre ; il entendit une voix qui lui disait : « Saul, Saul, pourquoi me persécuter ? »
Il demanda : « Qui es-tu, Seigneur ? » La voix répondit : « Je suis Jésus, celui que tu persécutes.
Relève-toi et entre dans la ville : on te dira ce que tu dois faire. »
Ses compagnons de route s’étaient arrêtés, muets de stupeur : ils entendaient la voix, mais ils ne voyaient personne.
Saul se releva de terre et, bien qu’il eût les yeux ouverts, il ne voyait rien. Ils le prirent par la main pour le faire entrer à Damas.
Pendant trois jours, il fut privé de la vue et il resta sans manger ni boire.
Or, il y avait à Damas un disciple nommé Ananie. Dans une vision, le Seigneur lui dit : « Ananie ! » Il répondit : « Me voici, Seigneur. »
Le Seigneur reprit : « Lève-toi, va dans la rue appelée rue Droite, chez Jude : tu demanderas un homme de Tarse nommé Saul. Il est en prière,
et il a eu cette vision : un homme, du nom d’Ananie, entrait et lui imposait les mains pour lui rendre la vue. »
Ananie répondit : « Seigneur, j’ai beaucoup entendu parler de cet homme, et de tout le mal qu’il a fait subir à tes fidèles à Jérusalem.
Il est ici, après avoir reçu de la part des grands prêtres le pouvoir d’enchaîner tous ceux qui invoquent ton nom. »
Mais le Seigneur lui dit : « Va ! Car cet homme est l’instrument que j’ai choisi pour faire parvenir mon nom auprès des nations, des rois et des fils d’Israël.
Et moi, je lui montrerai tout ce qu’il lui faudra souffrir pour mon nom. »
Ananie partit donc et entra dans la maison. Il imposa les mains à Saul, en disant : « Saul, mon frère, celui qui m’a envoyé, c’est le Seigneur, c’est Jésus qui t’est apparu sur le chemin par lequel tu venais. Ainsi, tu vas retrouver la vue, et tu seras rempli d’Esprit Saint. »
Aussitôt tombèrent de ses yeux comme des écailles, et il retrouva la vue. Il se leva, puis il fut baptisé.
Alors il prit de la nourriture et les forces lui revinrent. Il passa quelques jours à Damas avec les disciples
et, sans plus attendre, il proclamait Jésus dans les synagogues, affirmant que celui-ci est le Fils de Dieu.

J’espère qu’il vous a plu . Je vous souhaite une bonne soirée

Lettre à ma trisomie

Ma chère (ou pas d’ailleurs) trisomie.

J’ai des choses à te dire. D’où ce petit billet. J’espère ne pas te faire de peine. Mais je me dois d’être honnête.

Il y a les jours de fêtes, ou je t’accepte.  Après tout, j’ai quand même été à l’école. Maintenant, je travaille. Tu fais partie de moi. De manière invisible, caché dans mes chromosomes.  Puis moi, je veux vivre et être heureuse. J’ai une famille et des amis qui me soutiennent.

Puis, il y a ces jours, où je te fais la tête. Ou je te déteste. Ces jours de peine, de peur et de tristesse et de chagrin. Ces jours ou je n’ai pas envie de te porter, et encore moins de lutter. Car parfois j’en ai assez.   Je ne t’ai pas choisie.  J’ai mis des années à t’accepter.  Des combats qui reviennent parfois comme les vagues qui font viennent jusqu’au rivage.

Pourtant, on est lié pour l’éternité, tu le sais comme moi.  Alors, nous essayons de cohabiter, en harmonie, avec plus ou moins de succès. Inutile de se voiler la face. Nous avons déjà traversé tant d’années.  Il y a eu des épreuves, c’est vrai, mais aussi des trésors d’amour à garder .  Sans toi,je ne serai pas la même personne.   Alors poursuivons notre route.

Julie

Mots blessants comme un couteau

Coucou.   Un texte un peu particulier écrit avec mon cœur.

Certains moments de la journée ont été éprouvants émotionnellement.

Ce soir, je suis un peu fatigué. J’ai le cœur un peu en peine. Certaines personnes semblent avoir oublié que les mots peuvent blesser ou faire de la peine.

Si tu es mieux sans moi. Eh bien tant mieux. Je n’ai pas forcément de demander à te voir, ni à travailler avec toi.  Je ne suis pas fâché. J’ai juste le cœur en peine. Je n’avais pas besoin d’entendre ces mots-là.

Tu le peux le penser. Je n’ai aucun contrôle sur cela. Mais tu n’es pas obligé de le dire.  Surtout que ce soir, je n’avais pas besoin de les entendre.  Tu as rouvert la plaie, pour y planter un couteau et le remuer.  Déjà que ce matin, j’ai du mal à me calmer.  Bien sûr, tu ne l’as pas vu, car je suis allée m’isoler pour essayer de m’apaiser.   Heureusement, il y a aussi des personnes à qui j’ai pu me confier.

.  Dans la vie professionnelle, on ne choisit pas ses collègues. Je le sais bien. Mais parfois, ce n’est pas facile.   Je ne suis pas parfaite. Je le sais, mais comme toi, j’ai des défauts et aussi des qualités.

Tu ne liras probablement jamais ces mots. Tant pis j’avais besoin de l’écrire, de le dire.    Je vais vous souhaiter une bonne soirée, pour terminer en douceur ce petit billet

Saverdun, ma ville de cœur.

 Saverdun, ma ville de cœur.

Je marche souvent dans tes rues et tes différents quartiers.  

Je te connais depuis que je suis née.

Je t’ai évolué.  Le passé à laisser place au présent.

Oh Saverdun, ma ville de cœur, que je ne veux point quitter.

Certains habitants sont partis, d’autres sont restés !

Des vies à l’unisson même si parfois, nous chamaillions

Oh, Saverdun toujours gravé dans mon cœur. Je te souhaite de toujours connaître le bonheur.

Saverdun, toi qui m’as tant m’appris. Toi qui fais battre mon cœur.  Jamais, je ne veux t’oublier.

Dans ma mémoire, tu resteras gravé pour l’éternité

Laissez les mots voler.

Les mains sur le clavier. La musique est lancée . C’est parti. Mon esprit se met à travailler.  Que vais-je raconter ?

Lentement, je commence à taper. Les mots s’affichent sur la page blanche.   Tranquillement, je me laisse embarquer vers une destination inconnue.   

J’ai juste besoin de me poser. Tout à coup, une musique qui revient à ma mémoire. 

Voici un petit texte inspiré par la vidéo suivante :

Laissez les mots voler. En liberté s’il vous plait.

Mots d’amour, qui apporte de l’humour.

Mots de haine qui apporte malheureusement la peine. À effacer à tout jamais. Pour qu’ils ne soient plus utilisés.

Mots qui consolent pour qu’on rigole.

Mots d’explication pour faire tourner le monde.

Mots étrangers pour progresser surtout en anglais.

Mon monde n’est pas parfait.

Ce petit texte m’a été inspiré le titre ILONA : Un monde parfait.

 Son titre : mon monde n’est pas parfait.

Une page vierge, un stylo prêt à écrire .

C’est parti pour un voyage. il ; me reste qu’à monter dans ma fusée .

Direction le pays des rêves

Mon monde n’est pas parfait. Il y a sans aucun doute, des fautes à corriger et des expressions à changer. Mais c’est qui me plait.

Car comme cela, je peux encore améliorer. J’ai encore tant de chose à apprendre.   

Mon monde est un mélange de rêve et réalité. Je m’y balade et rencontre mes personnages.

Un stylo, un carnet, des histoires à raconter. Des nouveaux mondes à imaginer.

 Quand la vie devient grise, moi, je fais ma valise et je m’en vais au pays des rêves, ramasser des étoiles à la pelle. Boire du jus de fraise, causer avec les arbres, leur confier ma peine.  

Je dois quand même revenir à la réalité même si parfois cela me déplait, mais le prix à payer , pour reste éveillé .

Hommage à mes chiennes

Coucou . Ce soir un article un peu particulier pour rendre un hommage particulier à trois merveilleuses chiennes qui ont accompagné de mon enfance à mon adolescence ainsi qu’une partie de ma vie d’adulte .

Elles s’appelaient Galette , Opale, et Julia.

Je me souviens de vous , de nos moments passés ensemble au cours de toutes ces années . Vous m’avez tellement consolé , fait rire et parfois râlé ( je dois l’avouer ) .

Vous m’avez appris à aimer . Sans vous, je ne serais pas devenue la même personne .

Oh galette , grande chienne labrador à la robe de couleur sable . Ton cœur rempli d’amour et tes léchouilles , je les ai pas oubliés . Gravé dans mon cœur à jamais . Tu n’en fais qu’à ta tête . Boule d’amour maladroite et parfois un peu brute . Tu nous fait des câlins à ta manière . Avec toi , j’ai appris à marcher . Gourmande et coquine , tu n’as jamais raté l’heure de la gamelle à 17h pile , tu aboyais pour la réclamer si on oubliait . Merci d’avoir été là pour moi , d’avoir séché mes pleurs et chassé mes peurs .

Oh, Opale , labrador à la robe blanche. Quand je t’ai rencontré , tu ne savais pas nager . Les rivières, tu ne connais pas .

Oh, Julia . Femelle bergère allemande au cœur brave et gentil. Tu avais ta façon de communiquer et tellement d’amour à donner . Tu ne souhaite qu’une chose par-dessus tout , nous faire plaisir . Gourmande comme pas 2 , tu étais maligne et nous faisait tourner en bourrique pour avoir 2 gamelles . À tel point que nous avons beaucoup communiqué pour te déjouer . Je marche encore dans les rues où nous promenions ensemble. Je ne t’oublie pas . Le jardin est vide sans toi .

Vous êtes dans mon cœur à jamais . Je vous aime toujours . Je parle encore de vous .

Je ne suis pas seule , vous le savez . Ernest , mon chat a pris le relai . Il veille sur moi . Je lui parle de vous et pas seulement à lui, mais aussi à ma famille .

Je regrette de ne pas avoir de photos à vous montrer . Ce petit hommage est terminé.

Et si les jours de la semaine étaient des personnes ?

Ce petit texte m’as été inspiré par le post lundi D’isabelle-Marie d’Angèle

Et si les jours de la semaine étaient des personnes ?

—Alors commençons sans attendre ? Par monsieur dimanche. Dis-je à ma secrétaire

  • Oui, par lui. Car jour sacré qui appartient au seigneur. Je vous vois grand, fort et même temps simple. D’une voix bruyante, aimant les instruments de musique, notamment les cloches, que vous faites carillonner à volée le matin.  Jour de repos aussi, tout comme votre compagne, Madame, samedi et votre copain, monsieur, mercredi.

Monsieur dimanche part du bureau , très content.

  • Allez madame lundi. A vous. Ah ne râlez pas, mais non, vous n’êtes pas moins important que dimanche. Oui pour certains, c’est qui démarré la semaine et pour d’autre non. Le débat est clos !   Vous êtes travailleuse et plutôt motivée malgré votre caractère pas toujours facile. Toujours pressé avec mille choses à faire. D’ailleurs je vais vous laissez filer. Attention en sortant, ne ratez pas la marche
  • Monsieur mardi. Pile à l’heure, je vois.  Sérieux et concentré. Bien voyons voir. Travailleur sans histoire, à l’écoute, exécutant les consignes avec soin, désireux de progresser.   Félicitation a vous ! Je vous souhaite de continuer votre chemin et de réussir vos objectifs.
  • Suivant !

Mercredi arrive le portable collé à l’oreille, en pleine conversation. En rentrant dans le bureau, il raccroche précipitamment.

  • Bonjour Monsieur mercredi.  En pleine conservation avec monsieur dimanche je présume ?
  •  Oui me répond-t-il l’air contrit Excusez-moi, pour le retard.
  • Bien. Passons à autre chose maintenant

Il y  eut un court instant de silence puis je repris

  • Monsieur mercredi. Vous êtes un ouvrier qui travaille malheureusement pas toujours à l’heure. Malgré vos bavardages incessants, vos collèges vous aiment bien , car vous leur apportez votre bonne humeur et votre soutien .
  •  Vous pouvez disposer.

Il part, laissant la porte grande ouverte. J’aperçois Madame jeudi. Habillé simplement, assise dans un coin de la salle d’attente.

Je l’appelle depuis mon bureau

  • Madame jeudi. Venez donc. Ne soyez pas timide.

Elle s’approche lentement, un peu

  • Asseyez-vous  et n’ayez aucune crainte Vos résultats sont très prometteurs et vos progrès énormes malgré vos difficultés. Vous êtes travailleuse, silencieuse mais toujours prête à aider les autres mêmes si vous êtes fatigué à cause du vacarme.  J’envisage de vous confier de nouvelles responsabilités dans le futur.  Nous aurons l’occasion d’en reparler.
  • Merci

Madame jeudi quitta le bureau, des larmes de joie dans les yeux.

  • Ah !  Monsieur vendredi. Dernier jour de la semaine avant le week-end. Travailleur, mais tête en l’air parfois. Pressé de finir votre travail. Je comprends. Vous souhaiteriez alors changer de rythme ? À voir, je vais y réfléchir. Cela veut dire qu’il faudra vous trouvez un remplaçant. Car votre poste est essentiel.  Je vais y réfléchir et vous tiendrez au courant.

Monsieur vendredi quitte les lieux, l’air déçu, laissant la place à mon dernier rendez-vous du jour

  • Entrez.
  • Vous travaillez madame samedi, de manière détendue, mais efficace. Vos collègues vous apprécient. De plus, votre vie personnelle est aussi bien chargée, du bénévolat et une maison à gérer, mais aussi un blog à tenir et des imprévus qui surviennent. Vous êtes aussi une journée prisé pour les manifestations plus ou moins pacifiques. Malgré tout, vous parvenez à garder l’équilibre dans votre couple avec monsieur dimanche.   Bravo.

Je la raccompagne à la porte puis je retourne à mon bureau, rassemble mes affaires et quitte l’immeuble à mon tour .

Jezu mon ami

coucou . aujourd’hui un petit texte inspiré par le chant Tiago de Kendji Girac. , dans lequel je parle de mon amitié avec Jésus ( Jezu = Jésus en polonais) .

Depuis notre rencontre, mon ami, nous avançons ensemble.  

Si, de mes yeux, coulent des larmes, tu viens me consoler.

Toutes mes souffrances, toi, tu les as portés.

Jezu, mon ami. Mes mots, seigneur ,ma vie pour te servir

Jezu, mon ami, je veux tout te dire.

Mais mon ami, je suis là pour te soutenir

Qui se moque de toi, seigneur, il ne te connait pas.

Dans un jour, il te rencontra. En tout cas moi j’y crois.

Il faut parfois viser la lucarne, pour se faire entendre au milieu du vacarme .

Les moines, et les religieuses seront toujours là pour nous parler de toi, et faire entendre ta voix

Jezu, mon ami. Mes mots, ma vie pour te servir

Jezu, mon ami, je suis là pour te soutenir !

Celui qui part, un jour, reviendra, et toi, seigneur, tu lui pardonneras.

Si ton cœur est en panne, n’hésite pas, viens nous voir .

Je ferais de mon mieux, pour t’aider et je n’hésiterai pas à prier .

Jezu, mon ami. Mes mots, ma vie pour te servir

Cette nuit, je veux t’offrir ma vie .

Mon ami, je suis là pour te soutenir !

Jezu.

Jezu.

Jezu.

Galaxie

Obscurité totale.

Tout à coup, surgit la colonne de lumière.

Mélange de poussière et nué créer pour illuminer

Un bruit sourd, une explosion, une planète.

Puis une autre et encore. Puis d’autres objets.

Tous animés, en cercle, ils se mettent à tourner.

Formant, petit à petit, la voie lactée.

Oh spirale étoilée , je ne peux que vous admirer et louer celui qui vous a créé.

Ce texte m’as été inspiré par cette musique.

Sur une autre planète

coucou .

Parfois bien que je vive sur la terre comme vous . J’ai l’impression d’habiter sur une planète différente de la vôtre .

J’entends vos discussions , voit vos réactions , comprends vos émotions ( mais pas toujours) .

Je sens l’inquiétude qui habite vos cœurs , vos peurs , votre colère, vos pleurs ( parfois)

Je me sens proche de vous et en même temps si différente . Peut-être parce que même si nous avons des points en commun , nous n’avons pas la même façon de vivre.

Malgré, l’inquiétude , la peur et la colère qui rôde surtout en cette période , je continue mon chemin , la paix dans le cœur , joyeuse.

Je vous rassure , j’ai aussi mes périodes d’épreuve et de doutes .

Nous vivons sur la même planète et pourtant 2 monde différent cohabitent par moment.

Savourer sa vie

Savourer une tasse d’eau . Juste prendre le temps de la boire .

Savourer un câlin avec son chat, en profiter à fond, mais avec douceur et tendresse.

Savourer un morceau de chocolat , en reprendre un autre puis encore jusqu’à dévorer la tablette .

Savourer le temps qui passe , parfois si vite , parfois si lente . Compter les secondes , fixer la pendule jusqu’à la prochaine minute

Profite et savoure ta vie , à fond . Pas toujours facile , dans notre monde si pressé . Mais c’est un trésor à garder .

Oh Davy Jones

Oh Davy Jones. Rêveur éveillé.

Ton cœur de pierre ne peut pas pleurer.

Pourtant, tu n’as jamais cessé de l’aimer.

Tu vogues sur les flots, lié à ton navire, le hollandais volant.

 Parfois, tu rêves de t’en éloigner pour la retrouver. Calypso,ta bien-aimée. Celle que tu n’as jamais oublié, malgré toutes ses années

Si seulement, sur la terre , tu pouvais à nouveau marcher !

ce petit texte m’as été inspirée par la musique suivante ( voir vidéo ci-dessous )

Cri

Mon cœur crie vers toi.

Tu es mon étoile .

J’espère te revoir .

Mais le ciel est si gris .

Noir comme la suie .

Mon cri monte jusqu’a toi .

J’y crois .