Pas envie de dormir.
Juste celle d’écrire.
Les secondes et les minutes passent.
Je voudrais les ralentir pour mieux savourer le temps qui file.
Au fond de moi, j’ai juste envie de danser sans limite de temps.
Mais je ne peux pas pour l’instant .
Patience. Le moment viendra !
Page blanche ce soir, tu me nargues.
Ta blancheur m fait peur.
Les mots ont pris la poudre d’escampette.
Ils se sont échappés par la fenêtre.
Je pianote sur mon clavier.
Mais celui-ci ne veut chanter
les notes se sont enfermées.
Dans le placard à balais
Comment puisse-je vous convaincre ?
Je ne veux pas vous faire de mal.
Juste danser avec vous, au rythme du tempo.
Mais le métronome est devenu.
Il ne bat plus correctement la cadence.
Mais comment le réparer ?
J’ai perdu ma clé de sol et ma clé de fa n’est pas là !
Alors comment faire ?
Je me désespère au cœur de la nuit noire.
Mais au fond de mon âme !
Il reste une lueur d’espoir !
Alors doucement, je l’appelle.
Nos pas s’entremêlent.
Une danse commence ici et maintenant !
D’abord un pas puis deux.
Avant un saut périlleux !
Réception parfaite !
Mon âme est en fête !
Je cherche mes mots.
L’inspiration s’en allée.
Ce soir c’est la fête.
Elle a décidé de jouer la fille de l’air.
Mais bientôt les mots jailliront.
Une musique et puis deux.
Les lettres vont danser.
En rythme s’il vous plaît.
Je garde l’espoir . Je patiente.
Madame l’inspiration est revenue avec une nouvelle tenue
Oh Paris !
Ville de joie.
En ce jour où tu accueilles la flamme olympique.
Puisse-t-elle être toujours un symbole de paix dans ce monde est plus divisé que jamais.
Paris, aujourd’hui, on danse sur tes toits. Mais aussi sur les bords de la Seine.
À des milliers de kilomètres, moi, je danse avec mon cœur.
Paris, quand les flammes ont dévoré ta cathédrale, ce jour-là le monde entier était partagé entre la souffrance et l’espérance.
Oh, dame de fer ! Toi, la tour Eiffel ! Puisse inspirer notre jeunesse.
Que la paix enfin revienne dans tes rues et qu’elle coule comme un fleuve dans tous les coins de France.
Notre Dame de Paris, toi qui veilles sur cette ville et notre système depuis de nombreuses années déjà.
Entends le cri de mon cœur ! Toi qui es passé par le feu de l’épreuve tant de fois.
Aide-nous à garder l’espérance, à être toujours bienveillant.
Que la flamme de la fraternité ne s’éteigne jamais.
Elle danse , libre comme l’air.
Rien ne l’arrête. C’est sa prière.
Juste un instant, suspendu dans le temps mais aussitôt le rythme reprends.
Notes après notes , la musique guide ses pas.
Instant lourd comme un fardeau.
Mais le son continue . La danse se poursuit
Ses gestes et son coeur en harmonie agissent , espérant peut-être sauver une vie.
Ce texte m’as inspiré par la musique de ce clip.
J’entends les gens parler.
Économie, politique parmi d’autres sujets
Tant de questions qui se posent.
Pas forcément de réponse.
Je ne sais plus sur quel pied danser.
Où se trouve donc la vérité ?
Irai-je voter ?
En silence je les écoute.
Pas encore fait mon opinion
En attendant je ne sais plus sur quel pied danser.
Je rêve d’un monde apaisé.
Je ne danse pas.
J’écris ma propre chorégraphie, au fil de la musique et du tempo.
Les mots se font parfois désiré.
Porteur d’une vérité. Ils nous révèlent nos trésors, en nous, caché.
Il suffit d’une musique et le déclic retentit.
Les mots jaillissent comme un geyser.
L’histoire se tisse ligne après ligne comme une tapisserie.
De mille couleurs, elle brille.
Je ne danse pas . Je vis et j’écris.
Au fil des jours et des émotions, je chante ma chanson, invente mes propres contes.
Un jour de ma plume sortira un roman complet.
Mais en attendant, je continue à travailler.
Les mots et les pages blanches se laissent apprivoiser.
Il suffit de savoir leur parler.
Qu’attends-tu pour essayer ?
Inspiré par :
J’entends le son du temps qui passe .
Parfois si vite, d’autres fois si lent.
Au fil des jours , ma danse évolue, au rythme du tempo et des pas que la vie m’offre ou m’impose.
Des fois je suis à contretemps. Je ne veux plus suivre le courant comme un poisson.
Mais la partition me rattrape. Elle me serre dans ses lignes musicale. Je soupire, le temps d’un silence.
Je regagne ma place , rejoignant les miens.
Sur un signe du chef d’orchestre, les musiciens se préparent .
Jouer ma propre mélodie, voilà pourquoi j’écris.
Du monde réel à Hyrule j’ai basculé.
La triforce m’as appelé.
Des héros à réveiller.
Le combat va commencer.
Qui va gagner ?
Nul ne le sait
Dans mon monde je dois rentrer.
Un chemin à trouver.
La musique est notre alliée. Peu importe l’endroit d’où vous venez ?
Au rythme calme de mon luth ou avec mes marcas je vous ferai danser.
Si vous êtes triste. Que mes mélodies vous console.
Si la peur a envahi votre cœur. Que mes accords rythmique chasse son étreinte.
Que la paix en vous revienne.
Si la colère est présente, que sur des rythmes endiablé vous puissiez l’évacuer.
Si la joie est là. Alors dansez avec moi.
Mon nom est Cadence, je voyage avec vous , rythmant vos sons et vos chansons..
Je suis le maître du tempo,du rythme et du son
La musique et la danse sont mes passions.
Elles nous rassemblent nous qui venons de différents horizons.
Ce texte m ‘as été inspiré par cadence of Hyrule.
Ce soir, je mets aux platines.
Allez, tout le monde sur la piste !
Envie de danser.
De vous faire découvrir mes morceaux préférés.
Ce soir, je veux vous voir heureux, des étoiles dans les yeux.
Ce soir, on oublie tout !
Moment de paix partagé.
Que les tambours résonne
Que les pianos et les guitares jouent.
Que la louange s’élève vers le ciel !
Que vos cris de joie emplissent la terre.
C’est un jour de joie et de bonheur !
Du plus haut du ciel jusqu’au fond des abîmes, que toute la création se réjouisse.
Du plus petit au plus au grand que les animaux se rassemblent.
Qu’ils se joignent à la fête.
texte inspiré par cette musique voir ici
Faites retentir les tambours.
Que les flûtes se mettent à jouer.
Une nouvelle journée vient de démarrer.
Le soleil vient de se lever.
Sa lumière, bientôt, au zénith, sera.
Jour de joie et de paix.
J’ai envie de danser.
Viendras-tu me retrouver ?
Toi, que mon cœur a tant aimé.
Sur la feuille, je suis emprisonnée.
Les carreaux, petits ou grands, forment les murs de ma prison.
Je rêve de m’évader.
Être en liberté.
Pour cela , je vais devoir rassembler des lettres.
Devenir alliée avec elles.
Lentement tisser les phrases.
Accepter les contraintes imposées.
Triompher de l’épreuve.
Assembler les phrases en un ou plusieurs paragraphes
Trouver la sortie. Des milliards de possibilités. Mais une seule est vraie.
Choisir ses armes !
À cette histoire, mettre un point final.
De cette prison de papier, je me suis évadée.
Sous la lune et les étoiles.
Les arbres dansent.
D’abord une ronde , puis la polka avant d’enchaîner un rock et le tachacha
Au rythme des instruments, ils bougent leurs racines.
Leurs branches s’agitent de joie.
C’est la fête ce soir .
Au rythme des secondes et des minutes .
Le temps bat la mesure.
Il s’écoule plus ou moins vite.
Mais la vie suit son cours.
Le tempo et la cadence forme une alliance.
Ils nous invite a entrer dans la danse.
Au son des instruments, je m’élance.
Je ne me soucie plus rien.
Instants éternel , dans un autre univers , la musique m’amène.
Bien réveillée.
Déjà envie d’écrire.
Les mots sont des gentils cavaliers.
Ils m’invitent à danser.
Au rythme du monde et des notes .
Nos pas glissent sur la piste.
Rien d’autre n’existe.
Le monde de Julie 