La Muse et le ménestrel

je pénètre dans la taverne. celle-ci est bondée. Des cris , des moqueries . toutes adressé au ménestrel. celui-ci semble perdu , figé , incapable de bouger. l’inspiration le fuyait. il avait encore les doigts sur sa guitare. Il tenta un accord mais celui-ci était bancal. vide de ses sens.

Mes cheveux sombres brillent sous la flamme vacillante .Sans trop savoir pourquoi je me dirige vers le comptoir . je monte dessus ., faisant claquer mes bois sur le comptoir. je ferme les yeux et lève les bras. La foule se tut brisqt. Le ménestrel eut l’air stupéfait . il gratte à nouveau les cordes . Sa musique me toucha en plein cœur. Guidé par sa mélodie, je me mis à danser. . Je ne vis pas les grimaces de la foule se transformer en un regard étonné. les rires reprirent , des mains frappent le rythme sur la table, des verres tinterent. Le ménestrel cotinue à jouer

Le temps sembla s’arrêter. plus rien n’exister. Juste la mélodie et moi.

Après la dernière note, il y eut un silence. Mais celui-ci avait quelque chose de sacré . Je descendis du comptoir. Mon regard croisa celui du ménestrel . Brusquement la foule se leva, levant les chopes et poussant des cris d’aclamation.

Sans m’en soucier , je quitte les lieux. Je me nomme Angélique et je suis une âme libre.

petit texte inspiré par:

Inspiration autommale

L’inspiration s’est envolé.

L’automme est arrivée.

Les mots tourbillonnent comme des feuilles mortes.

Ce n’est pas encore le temps de l’hiver.

Mais déjà il s’apprête.

Au pied du chemin , sous la terre, mon cœur repose.

Place  Charles de Gaulle

Oh! Place Charles de Gaulle.

Lieu où je me sens en sécurité.

Toi qui devient ma scène, où je danse.

Toi qui est ma toile blanche.

C’est ici que j’écris, bien souvent.

Source d’inspiration et de vie.

Endroit de paix.

Puisse tu le rester à jamais.

Les mots

Ils tourbillonnent autour de moi.

Leurs murmures m’interpellent.

Lequel choisir ?

J’entends la musique. Celle-ci m’interroge.

Plus le temps d’hésiter.

Il est temps de se lancer !

Je dois me décider.

Les mots attendant. Mais certains s’impatientent.

Patience, mes amis !

Votre tour arrivera très vite.

Stylo à la main . Doigt prêt à taper.

J’ai une page blanche qui attend .

Allons y ensemble.

Que le flot de l’inspiration , dans  un autre monde nous emporte !

Ma muse

Ce soir pas facile d’être en rythme.

Je cherche mes mots comme un musicien qui cherche sa clé de sol ou fa.

Pas facile d’être en cadence. Trouver le bon tempo, ni trop lent , ni trop mou.

Je gratte une guitare imaginaire, tape sur mon tambour.

Même mes airs favoris ont pris la poudre d’escampette.

J’ai beau chercher dans ma mémoire. C’est le trou noir.

L’horloge sonne. Je l’écoute attentivement.

Elle me questionne.

Le temps passe. Trop vite ou trop lent.

Je ne sais plus.

J’ai égaré ma plume.

Ma muse s’est envolée.

Pour elle , autrefois, je composais de jolis poème imagés.

Oh ! Je voudrais tant la retrouver !

Une dernière fois , pour elle, chanter.

Avant de la scène, me retirer.

discussion avec une page blanche

Page blanche ce soir, tu me nargues.

Ta blancheur m fait peur.

Les mots ont pris la poudre d’escampette.

Ils se sont échappés par la fenêtre.

Je pianote sur mon clavier.

Mais celui-ci ne veut chanter 

les notes se sont enfermées.

 Dans le placard à balais 

Comment puisse-je vous convaincre ? 

Je ne veux pas vous faire de mal.

Juste danser avec vous, au rythme du tempo.

Mais le métronome est devenu.

Il ne bat plus correctement la cadence.

Mais comment le réparer ?

J’ai perdu ma clé de sol et ma clé de fa n’est pas là !

Alors comment faire ? 

Je me désespère au cœur de la nuit  noire.

Mais au fond de mon âme !

Il reste une lueur d’espoir !

Alors doucement, je l’appelle.

Nos pas s’entremêlent.

Une danse  commence  ici et maintenant !

D’abord un pas puis deux. 

Avant un saut périlleux !

Réception parfaite !

Mon âme est en fête !

La berceuse perdue

Chercher l’inspiration, c’est accepter de tourner en round.

Oh, Hibou de sagesse. Comment Puis-je retrouver cet air ?

Es toi qui me contemples ou le contraire ?

Lentement, je marche dans ta forêt.

Je veille à rester sur tes sentiers pour ne pas m’égarer.

Mon ocarina a perdu ses notes.

Mais au fond de moi, j’espère encore.

Retrouver cette berceuse qui m’a tant bercé, mais le chant du temps l’a remplacé.

De ma mémoire, elle s’est effacée.

Peut-être à jamais.

Ce petit texte a été rédigé lors d’un café d’écriture qui a lieu hier à l’imprimerie Fugace. Celle-ci se trouve à Saverdun, plus précisément dans la rue du champ de Mars.

Ta voix.

Retrouver l’inspiration,au fil des pas.

J’ai entendu ta voix.

Le déclic a retentit.

Vite, un stylo bille et mon carnet.

Plus un instant à perdre.

C’était, il y a si longtemps.

Je n’étais qu’une fillette.

Insouciante et heureuse.

Une imagination débordante, qui m’ attirait des ennuis parfois.

Mais le temps à passer.

L’écriture, je l’ai délaissé.

Pourtant l’envie parfois me démanger. Envie de gratter les pages de mon carnet

Aujourd’hui,je t’ai recroisé, au même endroit.

Ta voix était la même qu’autrefois. Ta guitare à la main. Debout devant le micro, tu chantes les chansons de ma vie.

Tu as un don pour la musique et le rythme. Merci à toi , mon ami , qui m’inspire.

Continue à chanter. Tu nous fais voyager.

Inspiration

Écouter de la musique.

Suivre son rythme

Trouver les mots.

Suivre le flow.

Ne pas voir passer le temps.

Oser se lancer.

Sur la page blanche, griffonner, un ou plusieurs mots .

Que les stylos se mettent à danser.

Le temps de l’inspiration est arrivée.

Madame Inspiration, les mots et moi

Trouver les mots.

Les déposer sur la feuille.

Avec plus ou moins de délicatesse.

Appeller Madame Inspiration

Dialoguer ensemble.

Créer une histoire.

Faire rêver les grands et les petits.

Inspiration perdue

Pas vraiment inspirée.

À sec.

Mes doigts se baladent sur le clavier.

Mais les mots ne viennent pas.

J’ai perdu mon tempo.

Pas encore retrouvé le déclic.

Où l’ai-je rangé ?

Je m’en souviens pas.

Un jour, je retomberai dessus par hasard.

En attendant je garde espoir .

Prière de l’écrivain

Ô seigneur.

En mains , je remets les mots que tu m’inspire.

Que ton Esprit Saint soit mon guide.

Que mes textes apporte la joie et la paix.

Qu’il fasse connaître ton amour et ta miséricorde a tous les hommes.

Que les ténèbres soit dissipé.

Que ta lumière rayonne et nous appelle.

Vierge Marie, avec toi, douce mère, je veux remercier le seigneur.

Car il fait des merveilles.

J’aimerais trouver.

L’inspiration va et vient.

Ce soir, elle coince.

Trouver un nom de ville

Ce n’est pourtant pas compliqué.

Mais je suis coincé. Je n’ai pas d’idée.

Je me sens emprisonné

Comment font-ils ses artistes qui nous embarquent dans leur histoire ?

Je garde espoir. Je poursuis ma quête. 

L’aventure n’est pas finie.

Les mots reviendront bientôt.

Article sans titre

Je cherche mes mots.

Pas d’idée. Rien d’extraordinaire à raconter.

Quotidien banal ou pas ?

L’inspiration reviendra.

Alors . Pas question de baisser les bras.

Parfois les émotions nous échappent.

Mais en cage, je ne veux pas les enfermer.

Ensemble , elles et moi on peut dialoguer

PS: je n’ai pas d’idée pour le titre. Mais si jamais vous avez une bonne idée hésite pas à la partager en commentaires.

Mademoiselle inspiration

Je cherche mes mots.

L’inspiration va et vient. À nul, elle n’appartient.

Elle est libre et parfois fière.

Têtue comme une demoiselle

Elle n’en fait qu’à sa tête .

Elle sait dire ce qu’elle pense et n’a pas peur de s’exprimer.

Occasionnellement, elle est silencieuse, mais c’est parce qu’elle nous prépare des belles surprises.

D’autre fois, elle fait nous fait un petit caprice qui se termine très vite