Je te dis au revoir.
Le vent poussent les nuages blancs.
Comme toi , ils partent pour un long voyage.
Que votre route soit paisible.
Puissiez vous faire le tour de la terre.
Quand la nuit tombera , les étoiles prendront votre place.
Quand à moi , je reste immobile sur ma colline.
Le temps passera.
Un jour je reverrai ton visage.
J’entendrai à nouveau ton ronronnement.
Ce sera un moment éternel qui n’aura pas de fin
Encore un dimanche sans toi.
Vide dans le cœur.
J’apprends à vivre, sans ta présence quotidienne.
Mais je ne suis pas seule.
Les jours se succèdent au rythme de mes émotions.
Tu es toujours dans mon cœur.
Je me surprends parfois à t’appeler en même temps que Figaro et Oliver .
La vie continue. C’est comme cela.
Je ne dois pas baisser les bras.
Je regarde le ciel et je t’imagine dans les nuages.
Je sais que tu es toujours là.
De manière différente, mais toujours présent.
Je garde l’espérance.
Mes doigts courent sur le clavier.
Un jour, le monde entier saura tout ce que tu nous as donné.
Je te le promets !
Écouter le piano.
Rechercher ses mots .
Se poser des questions.
Souffler .
Suivre la pulsation du tambour.
Prendre des décisions.
Avancer.
Ne plus se laisser écraser !
Se retrouver !
Laisser certaines choses de côté.
Claquer la porte !
Oser rêver !
Se donner les moyens.
Utiliser ses dons pour changer le monde.
Des petits pas mais des gestes important !
Il y a les matins où tout va bien.
Il y a les matins chagrin.
Difficile parfois de sortir du lit.
Il y a les matins galères.
Il y a les matinée ou un rien nous fait rigoler.
Puis il y a les après-midi pourris.
Ceux où tout nous paraît gris.
Mais il y a aussi les après midis jolis.
Dans ces moments-là la vie nous sourit.
À jamais dans mon cœur, tu demeures.
Lien éternel, tissé au fil des années.
Toi tu es au ciel. Moi sur la terre.
Mais nos cœurs battent à l’unisson.
Pour toujours.
Regarder son quotidien.
Regarder le monde.
Avoir son propre regard .
Différent de celui des autres.
Ne pas être compris.
Douter mais tenir.
Être fidèle à soi-même.
Penser à ceux que l’on aimé.
J’ai un rêve, au fond de cœur.
Il me brûle comme une flamme intérieur.
L’étincelle a allumé un brasier.
Envie d’y croire.
Pour le réaliser , je suis prête à me battre.
Le soleil est en train de se lever.
Sur la route je me suis élancée!
Des obstacles il y aura certainement.
Mais je n’ai pas peur!
Foulé après Foulé , j’avance !
Un pas , puis un autre, je trace ma route !
Le marathon de la vie n’est pas fini.
Je cours vers la ligne d’arrivée.
Mais pas seule.
Dans mon sillage , je vous entraîne !
Entendez-vous l’appel du dragon ?
Il attend le jeune héros aux cœur pur.
Celui-ci ne viendra pas seul à sa rencontre.
Accompagné par une jeune fille .
Il répondra !
Un long voyage les attends!
Un pays à traverser.
Des gens à aider.
Des aventures par milliers.
Petit à petit l’amitié les uniras.
Ensemble ils affronteront les épreuves du temps.
En sortiront-ils vivant ?
O Ernest , mon ami !
Je ne t’oublie pas.
La vie quotidienne a repris son rythme.
Mais.tu es toujours dans mon cœur !
Aujourd’hui j’ai eu un coup de blues.
Mes yeux ont pleurés.
Pas facile parfois de faire son deuil.
O Ernest, mon ami!
En souvenir de toi , je continue à me battre.
Ce n’est pas le moment de déposer les armes !
O Ernest, mon ami!
Je pense à toi et je souris.
Tu as une belle vie.
Tant de moments de bonheur partagé.
Ma vie tu as illuminé.
Les mots tourbillonnent.
Nos deux monde se fondent l’un dans l’autre.
Plus de barrière.
Plus de limite.
Une nouvelle réalité.
Réel. Tangible.
Le combat contre le mal continue.
Chacun a ses rêves et ses objectifs.
Vivre en paix. Apprendre à cohabiter.
Choisir un camp ou pas ?
Chacun fera son choix.
En son âme et conscience !
Deux monde confronté à l’obscurité.
Deux univers qui pourrait s’opposer.
Pourtant ils choisissent de s’unir.
Comme l’ombre et la lumière,ils ont besoin l’un de l’autre pour survivre.
Pourquoi devrais-je me taire ?
Pas face à l’injustice !
Je m’y refuse!
À moi de contrôler mes émotions.
Que ma colère ne déborde pas !
Que je reste poli !
D’accord mais que l’on cesse de prendre les gens pour des imbéciles.
Je m’efforce de maîtriser mes mots .
Faudrait pas qu’ils se retournent contre moi .
Je ne laisserai pas la colère ronger mon âme.
Je parlerai . Calme et posé !
Alors ! Peut-être m’écouteras-tu ?
Si tel est le cas , la discussion pourra avoir lieu.
De cet échange nous sortirons grandis.
Sinon tanpis ;
Messire le roi , pardonnez-moi.
Messire le roi , ne vous fâchez pas !
J’ai quelque chose à vous dire !
Cela ne va pas vous plaire . Je vous préviens !
Mais soyez indulgent !
Messire le roi. Les femmes ne sont pas à votre service. Nous ne sommes pas des jouets. Ni les vôtres ni ceux de vos hommes.
De plus Sire vous êtes marié. Je me permets de vous le rappeler.
Messire le roi . Pourquoi avoir agi ainsi ?
Vous n’avez pas su lutter !
Messire le roi , vous êtes coupable !
À cause de vous , une femme a perdu la vie .
Tué par votre caprice et par la jalousie de votre femme.
Messire le roi , descendez de votre trône !
Vous n’êtes plus digne de régner !
Messire le roi , je ne suis qu’une femme du peuple.
Mais je refuse de me taire!
Cette lettre me coûtera peut-être la vie !
Mais messire le roi . Je me tairai pas !
Si je tombe , d’autres femmes reprendront le flambeau.
Et peut-être que d’autres hommes rejoindront ma cause .
Petit texte inspiré et écrit en réponse :
Tourne tourne la roue du temps.
Il file inexorablement.
Tourne , tourne le soleil et les planètes.
Que les minutes et les secondes s’écoulent.
Le jour succèdent à la nuit.
Après l’hiver, vient le printemps.
Danse , danse mon enfant.
Tu auras bien le temps de devenir grand.
Profite de ton enfance !
Que le rythme des instruments guident t’es pas.
N’aie pas peur de suivre tes rêves .
Ciel bleu.
Nuages blancs.
Je pense à toi.
Lien éternel qui nous unit.
Rien ne peut le détruire.
Le vent souffle sur l’Ariège.
Je n’ai pas toujours pas compris pourquoi l’épreuve t’as frappé.
Comme un vaillant guerrier tu as lutté.
Mais sur le sol tu t’es tombé.
Le long de mes jours , les larmes ont coulés. Ce jour noir , je voudrais effacer.
Car maintenant je dois vivre sans toi!
Remonter le temps et les années.
Le vent souffle toujours sur l’Ariège.
Je me suis relevé.
La vie quotidienne continue.
Boulot, métro, dodo comme dit le dicton.
Les souvenirs continuent de revenir à ma mémoire.
Mais je ne baisse pas les bras.
Il y a deux chatons qui compte sur moi.
Aujourd’hui encore je lève les yeux vers le ciel.
Je danse et je pense à toi.
A mon poignet droit je porte ton petit collier bleu.
Petit objet .
Tu ne l’as porté que quelques fois.
Mais il me permets de garder un lien avec toi.
C’est un souvenir de ton courage et de ta vaillance.
Une manière pour moi de me rappeler que tu t’es battu sans te laisser abattre.
Jamais tu n’as laissé tomber.
Sur le champ de bataille tu es tombé.
Comme un soldat tu as livré ton dernier combat.
Cette tumeur t’as emporté.
Mais dans nos cœurs tu reste à jamais !
Peut-être qu’un jour , j’aurais le courage de déposer ce collier quelques part
Peut-être à Lourdes ou ailleurs.
Mais pour l’instant je le garde avec moi.
Des fois je lève le poignet vers le ciel et je pense à toi.
Le monde de Julie 