J’entends le son du temps qui passe .
Parfois si vite, d’autres fois si lent.
Au fil des jours , ma danse évolue, au rythme du tempo et des pas que la vie m’offre ou m’impose.
Des fois je suis à contretemps. Je ne veux plus suivre le courant comme un poisson.
Mais la partition me rattrape. Elle me serre dans ses lignes musicale. Je soupire, le temps d’un silence.
Je regagne ma place , rejoignant les miens.
Sur un signe du chef d’orchestre, les musiciens se préparent .
Jouer ma propre mélodie, voilà pourquoi j’écris.