Ce soir , je te donne rendez-vous au festival des voix sonneuses.
Allez, viens danser !
L’ambiance est chouette.
Au festival des voix sonneuses.
Les instruments et les chanteurs se donnent à fond .
Le public est au rendez-vous.
Sa danse , sa chante.
On profite de l’instant présent.
Ce soir les méchants ne gagneront pas .
Hyrule et Saverdun sont en fête.
C’est l’occasion pour moi de découvrir des groupes que je ne connais pas.
Joie d’y revenir chaque année.
Lentement je m’approche de ta façade.
Vais je rentrer ou pas ?
Danser sur ton parvis . Bien souvent je le fis.
Mais ces derniers temps j’ai pris un peu de distance.
Je pousse la porte. J’entre .
Silence. Pas un bruit.
Près du tabernacle je vois quelqu’un prier.
Intérieurement je m’interroge.
Ma foi est-elle morte ?
Je n’ai pas la réponse.
Mais au fond je garde l’espoir.
Je n’oublie pas les liens tissés.
Mon propre chemin je dois tracer.
Collège du Girbet.
Devant tes grilles , je viens de passer.
Je n’ai pas oublié.
Pourtant les années ont passé .
Tant de choses de la vie ,tu m’as appris.
Pas seulement du français ou des mathématiques.
Dans murs des larmes j’ai versé.
Bien des combats j’ai mené.
Parfois je me suis rebellé.
Des moments de joie il y a eu.
Après la troisième je suis partie étudier ailleurs.
Mais tu es encore là.
Monument du passé pour moi.
Promesse d’avenir pour les futurs collégiens que tu accueillera.
Transmet leur sagesse et savoir.
Qu ‘ils en fasse bon usage.
O collège du Girbet. Dans mon cœur à jamais !
Gare de Saverdun.
Dans ton hall, je me suis posée.
Quelques instants pour me réchauffer et me poser.
Il y a bien longtemps que nous sommes pas parlé.
Il est loin le temps où je venais te rendre visite.
Tu es toujours là, nous invitant à voyager.
Sur tes deux quais , des milliers de voyageurs sont passés.
Bien souvent tu m’as entendu râler, pestant après les grèves ou les retards de trains.
Gare de Saverdun, tu es une ouverture sur le monde
En empruntant tes deux voies , a Toulouse et Pamiers j’ai été.
Gare de Saverdun, le temps passe. Aujourd’hui nous ne voyons plus.
Tu es là. Je me demande si je te manque et si pleure en silence.
Ne m’en veux pas . C’est comme ça.
Continue la mission qui t’as confié
Que d’autres voyageurs viennent te rencontrer. Que des liens vous puissiez tisser.
Gare de Saverdun . Je m’en vais.
Je ne sais pas encore si un jour je reviendrai.
Pas de promesses en l’air.
Adieu. Un souvenir de toi reste dans mon cœur.
Place du champ de Mars.
Je m’approche de toi.
Tout est calme.
J’entends seulement les oiseaux chanter
Pas de cris d’enfants.
Les terrains de tennis sont vide.
Il faut dire qu’il ne fait pas chaud aujourd’hui. Un vent froid souffle .
Place du champ de Mars. Nous avons tant de souvenirs ensemble.
Quand j’étais enfant. Avec galette, ma chienne je venais souvent de voir.
Je la revois encore courir en liberté.
Sur tes terrains de tennis, avec mon père j’ai autrefois joué.
Bien des balles j’ai eu aller chercher, lorsque du terrain elles sortaient.
Place du champ de Mars. Des fêtes foraines tu as vu passé.
Des manèges par milliers. Des milliers de personnes vers toi affluer .
Place du champ de Mars. Le temps passe. Mais tu es toujours là. Prête à répondre présente pour accueillir des évènements si nécessaire
Cela fait si longtemps,qu’il n’est pas venu.
Ici dans cette rue
Il y a longtemps, il habitait.
Une maison à la façade rose et aux volets marrons.
Lentement il la traverse
Brusquement les souvenirs lui reviennent.
La pharmacie d’autrefois est devenu une agence immobilière.
Le bureau de tabac n’as pas changé.
Le salon de coiffure où il se rend de temps en temps est toujours prèsent.
L’armurerie Doumenq à laissé la place à un mercerie.
La rue est toujours vivante. Les voitures la traverse et les piétons y passent.
La devanture de la boulangerie regorge de gâteaux appétissant.
Je m’y m’arrête si souvent.
Les ruines d’autrefois ont laissé la place à une Galerie d art.
Lieu où j’aime aller. A son café d’écriture, j’ai la joie de participer. Rendez vous mensuel que j’attends avec impatience.
Le centre multimédia, reste un de mes endroit préféré. Je me e réjouis toujours d’y aller.
A l’intérieur de ses murs , vous y trouverez une bibliothèque.
Écoutez ce que les livres ont à vous dire.
Il y aussi une salle de cinéma. J’y ais vu de très bons films autrefois.
Mathilde y a posé ses valises. Elle y anime le musée numérique.
Oh ! Rue du lion d’or .
Dans mon cœur tu as une place particulière.
Une partie de mon enfance et de mon adolescence tu as abrité.
Je ne peux pas t’oublier.
Dans mon cœur, tu es gravé à jamais .
Oh . Rue du lion d’or, lien qui unit le passé et le présent.
Que les piétons foulent tes trottoirs, que les voitures toujours passent.
Que tout accident tu sois préservé.
Rue du lion d’or , le temps à passé. Mais fidèle , à ton âme tu es restée.
Pour cela je veux te remercier.
Tu m’as tant donné de joie.
Je ne t’oublie pas.
Oh! Place Charles de Gaulle.
Lieu où je me sens en sécurité.
Toi qui devient ma scène, où je danse.
Toi qui est ma toile blanche.
C’est ici que j’écris, bien souvent.
Source d’inspiration et de vie.
Endroit de paix.
Puisse tu le rester à jamais.
O, Saverdun, ma ville de coeur.
Quelle joie de parcourir tes rues, en ces beaux jours.
On y croise toutes les générations, des plus petits aux plus grands.
Même si parfois les nuages de pluie viennent nous arroser.
Je continue à m’y promener.
Tant de fois parcouru , souvent dans la joie, parfois versant quelques larmes.
Saverdun, ma ville de coeur. Je t’aime bien.
Parfois je pousse quelques coups de gueule. Je râle aussi parfois un peu.
Saverdun, nos cœurs battent au même rythme, chantant la musique du terroir
Saverdun, tu n’es pas la Jérusalem céleste. Il m’arrive de jouer la fille de l’air.
Mais c’est toujours vers toi , que mes pas et mon cœur me ramène.
34 ans d’histoire partagé qui me marqueront à jamais.
Retrouver l’inspiration,au fil des pas.
J’ai entendu ta voix.
Le déclic a retentit.
Vite, un stylo bille et mon carnet.
Plus un instant à perdre.
C’était, il y a si longtemps.
Je n’étais qu’une fillette.
Insouciante et heureuse.
Une imagination débordante, qui m’ attirait des ennuis parfois.
Mais le temps à passer.
L’écriture, je l’ai délaissé.
Pourtant l’envie parfois me démanger. Envie de gratter les pages de mon carnet
Aujourd’hui,je t’ai recroisé, au même endroit.
Ta voix était la même qu’autrefois. Ta guitare à la main. Debout devant le micro, tu chantes les chansons de ma vie.
Tu as un don pour la musique et le rythme. Merci à toi , mon ami , qui m’inspire.
Continue à chanter. Tu nous fais voyager.
Bien plus qu’une place.
Tu es pour moi .
Un lieu de joie , de vie, d’inspiration !
Lieu de rencontre entre toutes les générations.
Lieu de paix et de bonheur !
Ici . Mes histoires prennent vie et s’épanouissent.
Chaque vendredi tu accueille le marché .
Je suis heureuse de pouvoir passer te voir régulièrement.
Tu accueille mes coups de gueule , mes cris de joie et même parfois mes doutes et ma tristesse.
Lieu qui tisse un lien entre plusieurs univers.
Lieu de bonheur, je te porte à jamais dans mon cœur.
Saverdun , ma ville de coeur. Toi que traverse l’Ariège.
Sur tes places , mes histoires prennent vie au rythme de la musique. Joie d’y danser.
Nos 2 cœurs battent à l’unisson au rythme du temps.
En haut du clocher je voudrais monter pour mieux t’admirer.
Dans ton église j’aime prier.
Les années entre nous , un lien tissé. Tant de joie et d’épreuves partagé.
Dans tes rues , sur tes chemins, j’aime me balader toute l’année.
Avec tes habitants je discute souvent.
Dans tes musée ou dans ta bibliothèque je passe des heures à flâner
Saverdun, je te souhaite beaucoup de petits bonheurs.
Que la paix et la joie accompagnent toujours tes habitants.
Coucou, désolé pour le retard mais , voici enfin la fin de mon voyage à Paris.
Pour retrouver l’article précédent, je vous donne rendez vous ici : https://le-monde-de-julie.fr/2023/08/15/voyage-a-paris-3-eme-jour/
Cet article est la suite du précédent.
Nous sommes donc arrivés à la gare de Paris-Austerliz.
Nous avons acheté à manger et nous installé.pour déguster nos sandwich.
Après , nous avons rejoint le quai pour embarquer dans le train.
Là , surprise nous découvrons que nos places ne sont pas des couchettes mais des sièges ( erreur de la SNCF ou mauvaise manipulation lors de la réservation, mystère).
Nous montons dans le train et installons nos valises avant de nous s’asseoir. Les sièges n’était pas mal . Ils étaient équipés d’une prise électrique et d’une tablette ainsi qu’une petite lumière.
J’ai eu du mal à m’endormir. Mon papa m’as acheté un chocolat chaud et une brioche au wagon restaurant.
La nuit s’est bien passé.meme si nous avons eu du mal à dormir et un peu froid.
Nous arrivons à la gare de Toulouse et nous prenons aussitôt le train pour Saverdun.
Enfin arrivé à destination avec nos bagages , nous quittons les lieux et nous dirigeons vers chez mon papa.
Une fois arrivé là -bas , nous posons nos valises .
Il cherche la clé de la maison mais pas moyen de pas de la trouver.
Mes clés personnelles sont dans la boîte aux lettres . Reste à les récupérer.
Nous décidons d’attendre le facteur pour les récupérer. Pendant que mon père garde les valises, je fais un saut au bureau de poste pour demander de l’aide et contacter la factrice. Elle est passé en fin de matinée chez nous et nous ouvert la boîte aux lettres.
Nous l’avons remercié et nous avons récupéré les clés.
Une fois ses bagages déposé chez lui, mon père m’as ramené chez moi.
J’ai retrouvé mon chat qui était très heureux de me voir.
Voilà c’est la fin de mon aventure parisienne.
Au café Sofia, j’y passe de temps en temps , boire un verre ou mangé une glace selon mon humeur.
Au café Sofia, je découvre de nouveaux univers, grâce à leur concerts .
Café bonheur, un délice pour le cœur.
Saverdun, ma ville de cœur.
Je marche souvent dans tes rues et tes différents quartiers.
Je te connais depuis que je suis née.
Je t’ai évolué. Le passé à laisser place au présent.
Oh Saverdun, ma ville de cœur, que je ne veux point quitter.
Certains habitants sont partis, d’autres sont restés !
Des vies à l’unisson même si parfois, nous chamaillions
Oh, Saverdun toujours gravé dans mon cœur. Je te souhaite de toujours connaître le bonheur.
Saverdun, toi qui m’as tant m’appris. Toi qui fais battre mon cœur. Jamais, je ne veux t’oublier.
Dans ma mémoire, tu resteras gravé pour l’éternité
Le monde de Julie 