Je voudrais bien être capable de vous décrire un match de Quidditch.
Deux équipes composé de 7 joueurs . Ils ne doivent pas avoir le vertige .
Car le quidditch se joue à l’aide de balais volants.
Si mes souvenirs sont exact le terrain est un ovale entourée de tribunes.
A chacune de ces deux extrémités, les buts sont placé. Trois cercles d’or à protéger.
Le souaffle ne doit pas y pénétrer.
Mais ce n’est pas le seul ballon à surveiller.
Joueur,joueuse gare aux cognards. Ces deux balles sont redoutable. Leur but , te faire tomber de ton balai.
Heureusement que les batteurs sont vigilants, armé de leur battes . Ils les repoussent vigoureusement , protégeant les joueurs avec ardeur.
Poursuiveurs , poursuiveurs , avec deux autres partenaires, vous travaillez en trio .
Votre but : faire gagner des points à votre équipe en marquant des buts. 10 points , chaque fois qu’un cercle d’or est par le souaffle traversé. Le score peut vite monter.
Enfin il y a le vif d’or . Petit balle doré équipé d’une fine paire d’ailes. Rapide comme l’éclair. Je me laisse pas facilement capturé. Cette tâche là revient à l’attrapeur.
Ma capture met fin au match et je rapporte 150 point.
En plus des joueurs , il y a les spectateurs mais aussi l’arbitre.
Son rôle est de faire respecter les règles.
Mais que ce serait un match de quidditch sans commentateurs .
Ils décrivent ce qui se passe sur le terrain et mettent de l’ambiance. Ils connaissent les règles . Ils aiment le quidditch.
Tant de souvenirs qui me reviennent quand j’entends cette musique :
Tu m’as accompagné de ma naissance jusqu’au collège.
J’étais en troisième lorsque tu es parrti au paradis des animaux.
C’était l’époque des choristes et des chorales.
Je me souviens encore de tes bêtises et de tes coups de tête. Tu es une chienne pleine d’amour, que tu nous donnais sans compter.
Avec toi, on ne rater pas l’heure de la gamelle. Ton aboiement résonnait pour nous le rappeler si par mégarde on l’oublier.
Chienne d’amour, toujours présente dans mon cœur. Tu es toujours là pour me consoler et m’aider à retrouver le sourire. Quitte à me donner un grand coup de langue.
L’aventure avec cette ville ne s’est pas arrêté au lycée.
Elle a continué grâce à l’hospitalité diocésaine de Pamiers qui organise depuis des années un pèlerinage à Lourdes pour des personnes malades ou en situation d’handicap.
On m’as parlée et j’ai tenté une première fois l’expérience. Je suis devenue une hospitalière.
Depuis , chaque année, je reviens avec une immense joie, accompagné et me mettre au service des pélerins.
Être hospitalier ou hospitalière c’est accepter de servir les autres. Chacun et chacune , nous sommes différents mais nous pouvons nous entraider et avancer
Ces années de pèlerinage avec l’hospitalité a Lourdes m’ont fait grandir , mûrir.
Je me souviens de plein de moments de joie, de partage. J’ai eu aussi des moments de doute et de craquages.
Mais le sanctuaire de Lourdes est vraiment un lieu, où l’on peut se ressourcer.
Là -bas je sens comme chez moi.
Lourdes est une ville de rencontre . On y parle toutes les langues.